Le silence a fait son lit sûrement cette aube immense tremble un peu de séjour. Comme la pluie compromise je me promène sur le pont. Ne vous retournez pas. N'ouvrez les yeux sous aucun prétexte. Venez.
Comme une perte d’haleine A l'orée de mon amant Ou les mots d´une rengaine Pris dans les harpes du vent Comme un tourbillon de pluie Qui a fait son lit sûrement Cette apesanteur Oubli Quel poids à donc le néant ?
Je te corps / je te fantôme / je te rétine / dans mon souffle / tu t’iris / je t’écris / tu me penses.
C’est là qu’elle me l’a dit Pour la première fois A présent. Et très souvent depuis C'est beau, Elle m’a dit C'est beau parce que c'est orageux, « Je t’aime, toi » Avec ce temps je connais mieux, Les mots qui traînent au coin de mes yeux.
Un lien en mot sème le sel et ton nom sonne.
Toujours au bord, mais au bord de quoi ? Sous les couvertures sous le matelas ? As-tu mis l'reveil ? Oui, oui mon chéri imagines si ceci.
Mon sombre amour d'orange amère Ma chanson d'écluse et de vent Mon quartier d'ombre où vient rêvant Mourir la mer.
Un éclair... puis la nuit! — Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, ne te verrais-je plus que dans l'éternité?
My Lady D'Arbanville You look so cold tonight, Your lips feel like winter Your skin has turned to white.
Je lui dirai les mots bleus Les mots qu'on dit avec les yeux
Je t'ai connu même pas de commencement. Le détour ardent et sans acte . Tel quel. Lèvres jointes d'une pause sur le vent.
L'escargot passe sur la pluie. Je compte sur la somme de mes nuits Dis quand reviendras -tu ?
Pour un petit tour, un petit jour entre tes bras, l'étourderie des amoureux partis fait tourner la tête des tourtereaux
C'est le temps de l'amour le temps des copains et de l'aventure Quand le temps ...
Tout commence ailleurs. Peu importe certaines choses.
Bonne nuit Bonne nuit, mon chéri. Tu as remonté le réveil ? Oui, j'y ai pensé...Yoan ! Si tu veux qu'on fasse l'amour ? Merci de me le demander. Mais je dors déjà. Bonne nuit, ma chérie. Bonne nuit. Dors bien.
Les somnifères frémissent . Oui mais- toujours au bord sommet aigu appelé autrefois reflet. Ivresse à l'orée des mystères je t'aime exactement.
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant Non je ne me souviens plus du nom du bal perdu...
Je vois comme est ton geste avant la joie. Je dis des mots Parc'que des mots Il y en a tant Il y en a trop Et si tu n'existais pas dis-moi pourquoi j'existerais?
Toi mon amour, mon ami Quand je chante c'est pour toi Mon amour, mon ami Quand je rêve...
Entre tes cuisses je viendrai dans la soie de l'oursin donner le lait des morts que tu garderas chaud tu dormiras jolie un oiseau ivre sur la bouche au matin balbutié la morsure de mon âme aura givré dedans un cri de flocon fée Ô morte mon amour que j'aurai tant aimée.
J'aime les gens qui doutent Les gens qui trop écoutent Leur cœur se balancer.