COMPAGNIE EAU. ID.A
  • Accueil
  • À propos
    • Préambules
    • Nous >
      • Pauline Ziadé
      • Fanny Travaglino
    • Revue de presse
    • Contact
  • Créations
    • Formes courtes >
      • Avec Brassens
      • Et pied talon rouge
    • Cinq femmes pour une prière
    • Futur Antérieur
    • S'approcher
    • Les pas des sons et une fleur
    • Traverse(s)
    • L'ombre de chacun >
      • L'ombre en mouvement
    • Je t'aime
    • Pourquoi. Parce que. >
      • Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse.
      • Pourquoi Objection!
    • Noyade interdite
    • Projets en cours >
      • Ce qu'il reste >
        • VIDEOS
  • Interventions
    • Transhumance >
      • Transhumance # 7
      • Transhumance#6 >
        • Vidéos Transhumance
      • Transhumance #5
      • Transhumance #4
    • Projets en collège
    • Colonies de vacances
    • Tournées culturelles
    • Conversations (montreuilloises)
  • Actus
    • La France et l’Érythrée
  • Parole(s)
    • Poésie >
      • Poésie confinée >
        • Poésie confinée 1
        • Poésie confinée 2
        • Poésie confinée 3
      • Deux
      • Si un jour
      • Marbre
      • Proche de
      • Semaines
      • Jour 1
      • Si je tombe tu.
      • Je t'aime en poésie
      • Lettre à l'automne
      • Langues
      • Rentrer
      • Nouvelle page
      • Ligne
      • Spirale d'os et d'eau
      • lent
      • Infini
      • Un visage
      • Bonne année
      • Fissure
    • En mouvement
    • Chansons
    • Citations
  • Soutenir
.

Revue de presse
​

Cinq femmes pour une prière - La chronique théâtre de Jean Pierre Léonardini 

"Cinq femmes pour une prière, spectacle conçu par Fanny Tranvaglino et Pauline Ziadé, mêle poésie, danse, et chant. Marilou Nezeys (piano) joue Delerue, Brahms, Schumann... Cela s'ouvre sur Elle est la dune, paroles de Fanny, qui, menue, danse en un surprenant mouvement gémellaire avec Mairi Pardalaki, qui est grande.  Les vers libres, énoncés par Pauline, escortent chassés-croisés, chutes et rires... Zhora Lamari dit des bribes du texte en arabe. Après cet élégant manifeste lyrique de féminité épanouie, voici des extraits déchirants des Lettres de Syrie de Joumana Maarouf. On entend et voit l'iranienne Yashgin Kiyani chanter Belle ciao. L'être femme, ici, là-bas, est ainsi pensé en synthèse résolue. "

Le Télégraphe céleste

Après avoir enchanté les oreilles des auditeurs d’Arte Radio, il y a un an, avec Les Chemins de désir, Claire Richard reprend la plume pour France Culture et signe Le Télégraphe céleste, l’histoire d’un couple formé par Rosalie et Jean, en plein XIXe siècle.
Lui est ingénieur télégraphe ; il quitte Le Havre pour les États-Unis où il doit effectuer une mission périlleuse. Séparés par des kilomètres de terre et d’eau, les amants continuent de s’écrire inlassablement. Un jour, Jean disparaît du monde des vivants, et le dialogue se fait monologue, avant de reprendre quinze ans plus tard grâce à une médium brillamment incarnée par Odja Llorca. Une voix puissante sortie d’outre-tombe qui contraste efficacement avec celle, plus fluette mais tout aussi sensible, de Pauline Ziadé (Rosalie).
Avec la réalisatrice Laure Egoroff, l’auteure confectionne une fiction impeccablement nourrie de lectures occultes et hugoliennes – Le Livre des Tables fait partie de ses inspirations. Elle conte avec force l’amour, la perte, mais aussi l’émancipation d’une femme qui doit se réinventer sans celui qu’elle aime.

Inès Yazidi pour Télérama
Image

Photo
Cliquez ici pour modifier.



Photo

FRONTIERE(S): des mots pour entendre

Une création sonore de la compagnie EAU IDA avec les collégiens de 3eme du collège Jean Moulin de Montreuil

Un projet sélectionné au Festival de Cinéma de Douardenez 2017

​

JE T'AIME, un aparté qui a du corps
ème 

Photo

Avril 2016
​Je t'aime obtient le label du Printemps des poètes

Photo

 
​L'humanité le 29/03/16

Ce tyran qui n’épargne personne.
Avec plus de soixante titres de chansons, de poèmes, de bribes de dialogues de films, de Noir désir à Godard, de Brigitte Fontaine à Anne Sylvestre via Ghérasim Luca et Aragon, par exemple - la liste n’est pas limitative - Pauline Ziadé et Romain Lemire, dans « Je t’aime », spectacle portant en sous-titre « Un aparté qui a du corps », explorent à cœurs perdus en tous sens l’amour, ce « tyran qui n’épargne personne », ainsi que disait Corneille (le poète dramatique, pas le chanteur). Elle est comédienne. Elle chante aussi. Fort bien. Elle change à vue de sentiment comme de chemise. Lui, grand corps sérieusement ironique, l’escorte au piano tant dans la ronde du désir que dans la coupure de la séparation. On fait le tour complet de la question, à laquelle il ne sera jamais répondu une fois pour toutes. C’est une ronde infiniment subtile, d’intelligence aiguë et de sensibilité à vif, avec de subtiles observations lancées en cours de route. C’est à la fois savant, érudit et infiniment populaire, car l’amour peut appartenir à tout le monde. Là n’est-elle pas l’égalité vraie ? Fanny Travaglino a jeté là-dedans de son écriture de fine mouche, tout en observant depuis la salle ce carrousel passionnel qui fait vous tourner la tête, car mon manège à moi c’est toi.
Jean-Pierre Léonardini     

Picture

Radio Libertaire "De rimes et de notes" le 21/01/16

Picture

Radio Nova "Le grand Mix" le 23/01/16


Photo

Lettre de Jean-Louis Heckel
La Nef Manufacture d'utopies

Je soussigné Jean-Louis Heckel atteste de la qualité sans faille du travail de Fanny et Pauline. J'avais vu une première version de Je t'aime au murs à pêches dans un contexte de soir d'été, pas dans les meilleurs conditions pour apprécier toutes les nuances de cette création délicate et précise ! Je viens de la revoir en salle et je sors subjugué, exalté et heureux de savoir qu'un spectacle sur l'amour trouve sa place dans un contexte de violence qui nous hante ! Un grand merci à toute l'équipe pour ce moment de sérénité et d'engagement artistique.

Photo

Lettre de Félicie Fabre
Théâtre de la Girandole

Je ne peux que vous recommander le spectacle « Je t’aime » de la compagnie EAU.ID.A . 
La Girandole soutient depuis deux ans le travail remarquable de Fanny Travaglino et Pauline Ziadé deux jeunes artistes qui ont retenu tout notre attention au point de les intégrées comme Artistes Associées à la vie culturelle de notre Théâtre.
Leur dernière création « Je t’aime » c’est un moment de vrai bonheur.
Ils ont traité, loin de tout clichés, le thème de l’amour  avec sensibilité et maestria. Ils ont construit un objet théâtral ou les interprètes font corps avec un travail dramaturgique très composite.
On vous invite à vous intéresser à cette belle proposition artistique qui mérite d’être soutenue par d’autres structures 

BLOG du Théâtre de la Girandole le 18/01/16 

Pour la reprise de « Je t’aime » au théâtre La Girandole, nous avons interviewé les deux auteurs Fanny Travaglino et Pauline Ziadé.

​Bonjour, quel a été votre parcours à chacune ?Comment vous êtes-vous rencontrées ?


F : Du cirque des paillettes, de la danse en corps et encore un besoin de mots. Du besoins de l’écriture à la scène. Du désir de l’espace dans les mots. Des allers, des retours, des allers, des bruits de talons dans l’escalier c’est Pauline qui habite au dessus du théâtre, et ses yeux qui déjà parle d’amour. La voix de la radio et un corps nouveau à aimer.
P : Comédienne depuis petite et toujours, amoureuse des mots, un parcours avec des chemins de traverses, une prédilection pour le son, un appétit pour la mise en scène.
J’ai rencontré Fanny au travers de son travail. Qui m’a toujours intéressé et interrogé.

Comment est venue cette idée de créer un spectacle ensemble ?
​
P : Au départ j’étais seule avec l’envie de Je t’aime. Un deuxième œil m’était indispensable et je voulais un regard par ailleurs attaché aux gestes du corps. Fanny s’est imposé.
F : Une idée de Pauline. Une proposition de traverser l’amour en chanson… peut-on refuser un coup de foudre au ralenti ?

Y-a-t il un secret pour réussir à écrire et faire aboutir un tel projet commun ?

F : La confiance. L’écoute. La confiance. L’écoute. Et l’amour.
P : Oui. J’ajouterai le respect de l’autre. Dans sa différence. Et un ego au bon endroit c’est à dire au service du travail. Partir ensemble sous la pluie à la mer peut aussi aider…

Votre spectacle est très complet : il mélange les textes, le mouvement, la vidéo et la chanson. Pourquoi avoir choisi ces formes d’expression ?

P : Parce que j’avais envie de chanter ailleurs que sous la douche ! Non, je voulais surtout offrir en bouquets à d’autres ce dont je suis tombée amoureuse moi même depuis longtemps. Or dans ce bouquet il y avait des airs de chansons des mots de scène des images de cinéma des poèmes des visages.  C’est donc à partir de cette matière aimée composite puis recomposée que le travail de tissage a commencé. Pour qu’un fil se tende une brèche s’ouvre un geste ose un aparté d’amour se donne. Malgré ou grâce au temps compté.
F : D’apartés amoureux en apartés amoureux se déroule le fil de la nuit. Comme en rêve traverser la scène en chanson, transformer la chanson en poème, faire glisser le poème dans le corps et ouvrir l’écran aux images anciennes. De la langue aux langages une parole qui se décline comme une fenêtre ouverte vers l’extérieur.

Qu’est-ce que l’amour en 2016, y a-t-il encore une nécessité d’aimer ?

P : L’amour en 2016 ? Se re-connaître. Ouvrir l’œil. Accueillir l’autre. Penser. Rêver. Créer. 
Rester vivants c’est ne jamais cesser d’aimer. Alors restons vivants.
F : Ne jamais cesser de citer l’amour.
Ne jamais cesser d’être l’amour.
Ne jamais cesser d’avoir l’amour.
Se regarder. Se voir. Recommencer à être ensemble.
Je t'aime
  • Accueil
  • À propos
    • Préambules
    • Nous >
      • Pauline Ziadé
      • Fanny Travaglino
    • Revue de presse
    • Contact
  • Créations
    • Formes courtes >
      • Avec Brassens
      • Et pied talon rouge
    • Cinq femmes pour une prière
    • Futur Antérieur
    • S'approcher
    • Les pas des sons et une fleur
    • Traverse(s)
    • L'ombre de chacun >
      • L'ombre en mouvement
    • Je t'aime
    • Pourquoi. Parce que. >
      • Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse.
      • Pourquoi Objection!
    • Noyade interdite
    • Projets en cours >
      • Ce qu'il reste >
        • VIDEOS
  • Interventions
    • Transhumance >
      • Transhumance # 7
      • Transhumance#6 >
        • Vidéos Transhumance
      • Transhumance #5
      • Transhumance #4
    • Projets en collège
    • Colonies de vacances
    • Tournées culturelles
    • Conversations (montreuilloises)
  • Actus
    • La France et l’Érythrée
  • Parole(s)
    • Poésie >
      • Poésie confinée >
        • Poésie confinée 1
        • Poésie confinée 2
        • Poésie confinée 3
      • Deux
      • Si un jour
      • Marbre
      • Proche de
      • Semaines
      • Jour 1
      • Si je tombe tu.
      • Je t'aime en poésie
      • Lettre à l'automne
      • Langues
      • Rentrer
      • Nouvelle page
      • Ligne
      • Spirale d'os et d'eau
      • lent
      • Infini
      • Un visage
      • Bonne année
      • Fissure
    • En mouvement
    • Chansons
    • Citations
  • Soutenir