COMPAGNIE EAU. ID.A
  • Accueil
  • À propos
    • Préambules
    • Revue de presse
    • Contact
  • Nous
    • Fanny Travaglino
    • Pauline Ziadé
  • Créations
    • Formes courtes >
      • Avec Brassens
      • Et pied talon rouge
    • Cinq femmes pour une prière
    • Futur Antérieur
    • S'approcher
    • Les pas des sons et une fleur
    • Traverse(s)
    • L'ombre de chacun >
      • L'ombre en mouvement
    • Je t'aime
    • Pourquoi. Parce que. >
      • Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse.
      • Pourquoi Objection!
    • Noyade interdite
    • Projets en cours >
      • Ce qu'il reste >
        • VIDEOS
  • Interventions
    • Transhumance >
      • Transhumance # 7
      • Transhumance#6 >
        • Vidéos Transhumance
      • Transhumance #5
      • Transhumance #4
    • La France et l’Érythrée
    • Projets en collège
    • Colonies de vacances
    • Tournées culturelles
  • Actus
  • Parole(s)
    • Poésie >
      • Poésie confinée >
        • Poésie confinée 1
        • Poésie confinée 2
        • Poésie confinée 3
      • Deux
      • Si un jour
      • Marbre
      • Proche de
      • Semaines
      • Jour 1
      • Si je tombe tu.
      • Je t'aime en poésie
      • Lettre à l'automne
      • Langues
      • Rentrer
      • Nouvelle page
      • Ligne
      • Spirale d'os et d'eau
      • lent
      • Infini
      • Un visage
      • Bonne année
      • Fissure
    • En mouvement
    • Chansons
    • Citations
  • Soutenir

  Pourquoi parce que. 
     Un projet, des étapes

      De Julien Mousset et Fanny Travaglino
Photo

L'objet a son corps, Le corps sa voix, La voix une infinité de mots qui peuvent. Dissimuler le corps.
​
Le corps innove sa matière de sens la chair des mots coupe et reconstruit le. Son de la voix s'efface.
Et laisse l'objet dire que.                                  
Ici et là.                              La.
Forme d'un mot. 
La texture d'un corps. La dextérité d'une voix.
L'objet se définit dans un espace en trois dimensions.                Ici et là.
La dextérité d'un mot. La forme d'un corps. L'espace d'une voix.
Le mot se définit dans un espace en trois dimensions.
Ton geste parodie l'objet, qui lui, mime la définition inverse de ce que.
Mon corps vient de dire.

Tes mots dictent ma conduite et mon corps fuit. ​
Mon corps anticipe ta voix.

Je es. Tu suis. Qui Suit Qui ? Rire. Frôler l’ego.
Les légos qui pièce à pièce construisent...                             Un jeu de fil.
Un jeu de piste dans l’écho des reflets.
                                                                      On se cherche et on cherche à.
On cherche la combinaison oubliée du coffre.
Renfermant la clé d'un autre coffre que l'on avait oublié.

Dans lequel apparaît une nouvelle combinaison.

« Non pas à proprement le volume des choses mais leur sentiment et leur ressentiment en moi :
​ le ressentiment au bout duquel est la pensée. »
Antonin Artaud

Photo

​→  Etape 4
Pourquoi les grenouilles.
​Parce que l'ellipse. 

Conférence articulée pour
​(…) 2 comédiens. 1 musicien. 1 jeu de cartes.
20 spectateurs. Un début ? (…) Quelques lignes.
1 pain au raisin. 4 craies. 1 montre (...) 1 poisson rouge. 1 café. 1 miroir. 1 croisement. 1 sphère ? De la laine.
5 poèmes. 3 tombes (…) Une suspension. Un tour autour des yeux. (...) Du sel. Le hasard ? 1 spirale.
​2 spirales. 3 spirales. 4 spirales. 5 spirales. 6 spirales. 7 spirales. 8 spirales (…) Une fin ?

→ Eté 2016
→ 27 minutes
Plus

Photo

​→  Etape 3
Pourquoi Objection!

→ Eté 2015
→ 46 minutes
Une comédie d'objets poétique.
​On est deux. On est deux "je".
​Comment fait-on un tu ?
C'est un jeu de piste dans l'écho des reflets.
​Tu lances le "dès que" qui te dit que le jeu commence ? 
- Une brève histoire d'aventure où.
Le sujet se cherche -
Plus

Photo

→  Etape 2
Pourquoi Oui[e]

Comédie courte d'objets poétique.
Avec  Mbembo et Fanny Travaglino
​

« Je suis et j'entends que. »
​
→ Printemps 2015
→ 16 minutes

Photo

→  Etape 1
Pourquoi Nonm

Poésie articulée.
Avec  Cédric Jaburek Et F. Travaglino

Il a la flemme d'écrire. Il a la flemme de lire.
Elle a la flemme de gesticuler. 
Ils cherchent un titre à leur flemme. 
NON, il n'y aura pas de titre. 
Ils tairont le NOM de cette pièce.          Ils hésitent. 
Se disent que NON pourrait être un bon NOM. 
A moins que le NOM de cette pièce soit NOM. 
NON ou NOM ?                          Le choix les épuisent. 
Se sera NONM.

→ Hivers 2015
→ 13 minutes

Menu
  • Accueil
  • À propos
    • Préambules
    • Revue de presse
    • Contact
  • Nous
    • Fanny Travaglino
    • Pauline Ziadé
  • Créations
    • Formes courtes >
      • Avec Brassens
      • Et pied talon rouge
    • Cinq femmes pour une prière
    • Futur Antérieur
    • S'approcher
    • Les pas des sons et une fleur
    • Traverse(s)
    • L'ombre de chacun >
      • L'ombre en mouvement
    • Je t'aime
    • Pourquoi. Parce que. >
      • Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse.
      • Pourquoi Objection!
    • Noyade interdite
    • Projets en cours >
      • Ce qu'il reste >
        • VIDEOS
  • Interventions
    • Transhumance >
      • Transhumance # 7
      • Transhumance#6 >
        • Vidéos Transhumance
      • Transhumance #5
      • Transhumance #4
    • La France et l’Érythrée
    • Projets en collège
    • Colonies de vacances
    • Tournées culturelles
  • Actus
  • Parole(s)
    • Poésie >
      • Poésie confinée >
        • Poésie confinée 1
        • Poésie confinée 2
        • Poésie confinée 3
      • Deux
      • Si un jour
      • Marbre
      • Proche de
      • Semaines
      • Jour 1
      • Si je tombe tu.
      • Je t'aime en poésie
      • Lettre à l'automne
      • Langues
      • Rentrer
      • Nouvelle page
      • Ligne
      • Spirale d'os et d'eau
      • lent
      • Infini
      • Un visage
      • Bonne année
      • Fissure
    • En mouvement
    • Chansons
    • Citations
  • Soutenir