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Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse.
Conférence articulée pour (…) 2 comédiens. 1 musicien. 1 jeu de cartes. Un début ?

​​​13 minutes
​
A la nef, manufactures d'utopies 
→ 6 novembre 2016 à 18h dans le cadre du Kabaret P.O.P
Au Théâtre de la Girandole
→  14 novembre 2016 à 20h30 en première partie de la Compagnie 7 au soir
→  9 décembre 2016 à 20h30 en première partie de la Compagnie La neige est un mystère
55 minutes
→  20 mars 2017 à 19h
Photo

Ecriture : Julien Mousset et Fanny Travaglino
Mise en scène : F. Travaglino et Anna Von Grunigen
Oeil extérieur : Pauline Ziadé

Avec : Maixence Bauduin, Yoann Godfroy et  F. Travaglino



Conférence articulée pour
(…) 2 comédiens. 1 musicien. 1 jeu de cartes. Un début ? (…)

(...) Quelques lignes. 1 pain au raisin. 4 craies. 1 montre (...) 1 poisson rouge. 1 café. 1 miroir. 1 croisement. 1 sphère ? De la laine. 5 poèmes. 3 tombes (…) Une suspension. Un tour autour des yeux. (...) Du sel. Le hasard ? 1 spirale. 2 spirales. 3 spirales. 4 spirales. 5 spirales. 6 spirales. 7 spirales. 8 spirales (…) Une fin ?

​
« Non pas à proprement le volume des choses mais leur sentiment et leur ressentiment en moi : le ressentiment au bout duquel est la pensée. »
Antonin Artaud
​
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Images

Comme une fugue deux voix une mélodie. 
Plusieurs dialogues (…) une seule histoire. 
La grenouille croit qu’elle croasse. L’ellipse croît qu’elle révolutionne. 
La grenouille croit en la révolution. 
L’ellipse croit que l’eau des temps... 
En 2 raisonnements croisés de mots en objets en (...) objet en mots en son en son en corps en objets en mot en corps  ils répètent … qu’ils. Ils étirent au sol un fil rouge comme une trame. 
Et vous entrerez dans l'intrigue et vous en déroulerez le fil.
De questions en réponses comme des tableaux de drôles d'images comme un poème (...) assurément.
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Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse. est une comédie d' « objets poétiques » qui observe le corps et ses déplacements, les mots et ses sons, l'objet et ses matières. Il s'agira de traverser et d'articuler ces trois subtiles frontières pour mettre en évidence qu'elles possèdent un territoire commun. Cet espace créé sera le socle de la création et c'est de ce territoire que l'on déploiera un fil de sens.
Les énergies des corps comme la musicalité des mots résonneront et se propageront sous forme d'ondes. Ces ondes incarneront des émotions qui, à la recherche d'échos, interagirons avec les mots qui eux-mêmes se déplacent. La présence et la manipulation d'objets viendra renforcer et souligner l'engagement organique de la chair et celui du texte, du langage. Plusieurs voix s’élèveront et s'enlaceront pour un dialogue poétique unique.

Ce miroitement sera soutenu par la création d'un univers musical et sonore à la contrebasse.
​
Au plateau, passant du sens propre au sens figuré, du double sens aux vers métrés, l'absurde ressemblera au sérieux. C'est en pinçant les codes qu'une logique particulière se réinventera, elle interpellera le hasard et ressemblera à un jeu.
Un jeu ouvertement interactif. En effet, le public pourra guider et-ou redéfinir le déroulement dramaturgique et des fragments de la pièce s'écriront avec le spectateur, il pourra être ainsi tour à tour acteur et maître du jeu.
 


​


​L'écriture du texte naît avec le projet et s'élabore simultanément à celui-ci. A l'image des outils scéniques qui se multiplient et cherchent une ligne commune, le point de départ de l'écriture a été la rencontre de deux thématiques : le conte et la rondeur. Dans l'un et l'autre se retrouvent les notions de cycle et de souffle. Le titre « Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse » annonce la tonalité, de la pièce qui est axée sur les allers et les retours. Le texte prend la forme d'une double conférence qui, de dialogues en apartés n'en forme plus qu'une. De questions en réponses deux histoires vont se dérouler. Elles semblent parallèles mais nous pourrions comparer ce texte à une fugue qui se compose de plusieurs thèmes et ne donne pourtant à entendre qu'une seule mélodie.
Le travail dramaturgique s'est imposé une deuxième contrainte, introduire la notion du jeu : la comptine et la formulette, le scrabble et le taro, les billes et les dés ont été les règles structurantes du texte.
Enfin, les scènes se divisent en modules à combinaisons variables afin que la pièce puisse s'agencer au gré de la participation du public.
La grenouille saute. L'ellipse tourne : le mouvement est annoncé et cette œuvre est un jeu de piste.
 


Notes de mise en scène

​L'axe premier de la mise en scène est la mise en place de l'espace scénique : espace des acteurs et espace des décors, la scénographie est essentielle dans la projection des directions que prendront les artistes sur le plateau.
Après avoir tracé les lignes spatiales, s'ouvrent les champs de jeu d'acteur et le travail physique. Pour que les acteurs s'approprient le texte ils travaillent directement dans l'espace et les déplacements aident à l'appropriation de ce dernier. Les acteurs devront mettre en miroir les lignes des mots et celles des corps. C'est de la rupture et des variations d'émotions que s'affinera la prise de parole et la mise en musique. Les mots se chercheront de la même façon que s'écrira la musique, une partition articulée se mettra en place et la poésie sonore glissera sur le mouvement. Mouvement qui cherchera à s'ancrer au travers des mouvances et des répétitions. Il s'agira d'explorer la conscience du cycle. Les objets se transformeront en symboles, les respirations en mots et les gestes relaieront le langage. Les acteurs joueront à recommencer le texte, à le moduler, à le modifier, le même processus sera opéré pour le mouvement et la composition musicale. De tentatives en reflets se dessineront les intentions de jeu, les caractères des mots et des notes ainsi que les parties dansées afin qu'il ne reste à voir qu'une traversée poétique qui agence sensiblement sémantique et organique.
 
La circularité sera le maître mot de l’esthétique scénique. Afin d'équilibrer la rondeur, des formes anguleuses parsèmeront l'espace et c'est bien une géométrie du plateau qui est recherchée. Au sol, une spirale de laine rouge maintenue par des galets régira la scène ainsi que les déplacements, comme une veine que l'on déplierait et le sang que l'on déroulerait. Pour mettre en relief cette organicité le bois sera très présent. Quant aux objets, ils se répondront dans leur simplicité et seront épars, ils sembleront semés mais leur place et les trajectoires qui les relient seront comme des guides et aideront à traverser les avancements de l'intrigue.
Afin de ne pas écraser le sol de matières et de
pouvoir jouer avec l'espace, des dispositifs de « machines-outils » seront créer (boîtes suspendues, ardoises volantes, fils à linge déambulant, portiques amovibles...). Ces dispositifs permettront de souligner l'horizontal et la verticale, et en accentuant ces deux plans, de multiplier les variations possibles de l'espace, des déplacements, des échos.
La création lumière aura elle aussi un rôle important, elle permettra d'agrandir et de refermer les espaces abordés, de faire surgir de nouveau axes et de nouvelles perspectives. Les lumières délimiteront sépareront ou superposeront, elles feront disparaître les acteurs ou les doubleront d'ombres.
 
La scène ressemblera à un labyrinthe de taille variable, à un jeu infini. On y piochera des cartes, on y lancera des dés et sans que le serpent ne se morde la queue, c'est en image à la poupée russe que l'on cherchera la combinaison oubliée du coffre, renfermant la clé d'un autre coffre que l'on avait oublié, dans lequel apparaît une nouvelle combinaison.
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   Coproduction:
Château de Blandy-les tours
   Coréalisation: Théâtre de la Girandole / La nef, manufacture d'utopie
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