Il n’y a pas de conclusion. Même pas de commencement. Tout est là comme toujours. Mais quelque chose s’est produit
Cette longue ligne comme un cœur qui bat. Se cambrer pour y plonger. Comme la fuite d'un saut en miettes toucherait le bord de la table. L'ombre de ta paume de ma main. A peine salé, il suit la courbe d'une joue elle suit le vertige d'un mégot jeté par la fenêtre à la volée. La peau. La prière. L'armoire. Le cri. Le zeste. Le lustre. La langue. Le verre. Le sucre. Le radiateur. Le cil. Le pli. Le sable se posent au creux d'un vide mal fermé. Il fond dans ses dents. Avale une valse, la seule. La mémoire tombe comme de la crème dans mes os blanc et doux comme un trésor. Et je t'entends respirer. Sous ton pull, la nuit est aussi longue que je le veux. Nous rassemblons les funambules pour balancer petite perle tiède comme si on voulait réellementl'attraper.
Mouvement volubile D'artères et de sillons Une route l'asile
Ce mouvement du devenir fixé hors du temps mais selon la réalité du temps changeant.
Après un faible bruit, un cerf-volant a flotté sans bouger
Se traduire
Percer le nerf Passer le vif Courir la vitre Tomber le nu
Ouvrir la fenêtre
Toucher le toit
Attraper le cran
Pencher la tasse Pirouette l'angle
Freiné à la renverse l'escargot pile Fuit-elle la neige soporifique ? Enivrée à la rive nue assez nue Un élixir est bu vas-tu
Entêter la nef unie ni la vue ? Ciel élevé luge en elle Larmes exportées taratata Et saute dromadaire exhibition d'épées Efface le luxe l'été va ni personne
Fragment de sol jusqu'à l'interstice. De l'ardeur elle étend ses traits. Se fracasse un mur lointain. Il rit. Il a cinq ans. Elle lance ses talons le sol n'est plus si bas. Ils soulèvent l'empreinte du geste.
Elle voit devant elle, la trace du tunnel Elle semble courir, claque la porte, elle va Il faudrait une chambre une cave un hôtel Une cour un soupir son doigt tremble elle va
Quelquefois, il y a un crissement de ciguë et elle poursuit en courant.
Nos noms, en fusion qu'est ce que c'est ? Un laps. Mais la lisière tiède dans ta gueule il y a l'eau ici. Il y a l'éboueur, l'aube des heures et la raquette hurle bzzzzzzzzz. Tu donnerais tes mains ? Quand la lune accroche la dent à la nuit, à toi. L'un fixe vida et hâta l’algorithme, un cri. Qu'est-ce que c'est ? L'orage fila et se mit là. Beurk. Chaque banc t'aide, vermillon, à tes souhaits. Wahooooooo, et le matin. Quand le lac sacré nuque nage, l'île carnaval.
Bruine du jour ouatée. Suave louve et un loup, le triangle
Suivre la ligne du tapis blanc écru un talon
Aiguille penche le contour Du pas
Arabesque blonde Tourne et reprise de la hanche Et café au lait
Entre deux rangées de cordes pourpres avancer la route
Imagine si ceci un jour ceci un beau jour imagine si un jour un beau jour ceci cessait imagine.