COMPAGNIE EAU. ID.A
  • Accueil
  • À propos
    • Préambules
    • Nous >
      • Pauline Ziadé
      • Fanny Travaglino
    • Revue de presse
    • Contact
  • Créations
    • Formes courtes >
      • Avec Brassens
      • Et pied talon rouge
    • Cinq femmes pour une prière
    • Futur Antérieur
    • S'approcher
    • Les pas des sons et une fleur
    • Traverse(s)
    • L'ombre de chacun >
      • L'ombre en mouvement
    • Je t'aime
    • Pourquoi. Parce que. >
      • Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse.
      • Pourquoi Objection!
    • Noyade interdite
    • Projets en cours >
      • Ce qu'il reste >
        • VIDEOS
  • Interventions
    • Transhumance >
      • Transhumance # 7
      • Transhumance#6 >
        • Vidéos Transhumance
      • Transhumance #5
      • Transhumance #4
    • Projets en collège
    • Colonies de vacances
    • Tournées culturelles
    • Conversations (montreuilloises)
  • Actus
    • La France et l’Érythrée
  • Parole(s)
    • Poésie >
      • Poésie confinée >
        • Poésie confinée 1
        • Poésie confinée 2
        • Poésie confinée 3
      • Deux
      • Si un jour
      • Marbre
      • Proche de
      • Semaines
      • Jour 1
      • Si je tombe tu.
      • Je t'aime en poésie
      • Lettre à l'automne
      • Langues
      • Rentrer
      • Nouvelle page
      • Ligne
      • Spirale d'os et d'eau
      • lent
      • Infini
      • Un visage
      • Bonne année
      • Fissure
    • En mouvement
    • Chansons
    • Citations
  • Soutenir

Et les autres


Ecouter la poésie musicale d'Anna Von Grunigen
Robert


Aller voir "Je sais ce qui vous mène"
Cie Trois, six, neuf

"Batis et ses enfants si différents sont de retour dans leur maison de famille. Or, voici que les murs parlent… La Villa Natacha va les guider dans le souvenir !​"
Du samedi 30 janvier au dimanche 21 février 20h30
Au théâtre de la Girandole

Suivre les empreintes de Stéphane Bataillon 

La transparence 

Par la vitre, tu vois le paysage dont tu avais rêvé
c’est elle
qui t’empêche de l’atteindre.
Gustave, fanzine poétique

Lire un poème de Jean-Baptiste Ziadé

​L’heure de midi brûle au chemin crayeux nu perdu au détour séduisant des monts chauds de l’été chemins de pierres blanches d’ossements que la glaise tient chauds dans l’épaisseur salée du vent du soleil nu du thym 
Minuit chantait la soif et la mémoire des jours et le peu d’herbe sauge où passe la peau nue basilic immortel à la pupille creuse

Actus  /         Sur les scènes    / Sur les ondes  / En coulisses

Menu
  • Accueil
  • À propos
    • Préambules
    • Nous >
      • Pauline Ziadé
      • Fanny Travaglino
    • Revue de presse
    • Contact
  • Créations
    • Formes courtes >
      • Avec Brassens
      • Et pied talon rouge
    • Cinq femmes pour une prière
    • Futur Antérieur
    • S'approcher
    • Les pas des sons et une fleur
    • Traverse(s)
    • L'ombre de chacun >
      • L'ombre en mouvement
    • Je t'aime
    • Pourquoi. Parce que. >
      • Pourquoi les grenouilles. Parce que l'ellipse.
      • Pourquoi Objection!
    • Noyade interdite
    • Projets en cours >
      • Ce qu'il reste >
        • VIDEOS
  • Interventions
    • Transhumance >
      • Transhumance # 7
      • Transhumance#6 >
        • Vidéos Transhumance
      • Transhumance #5
      • Transhumance #4
    • Projets en collège
    • Colonies de vacances
    • Tournées culturelles
    • Conversations (montreuilloises)
  • Actus
    • La France et l’Érythrée
  • Parole(s)
    • Poésie >
      • Poésie confinée >
        • Poésie confinée 1
        • Poésie confinée 2
        • Poésie confinée 3
      • Deux
      • Si un jour
      • Marbre
      • Proche de
      • Semaines
      • Jour 1
      • Si je tombe tu.
      • Je t'aime en poésie
      • Lettre à l'automne
      • Langues
      • Rentrer
      • Nouvelle page
      • Ligne
      • Spirale d'os et d'eau
      • lent
      • Infini
      • Un visage
      • Bonne année
      • Fissure
    • En mouvement
    • Chansons
    • Citations
  • Soutenir